Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la
musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
La compagnie Ariès propose des actions culturelles en milieu scolaire autour certains de ses spectacles. Ces actions permettent de sensibiliser des jeunes aux thématiques des spectacles sous forme d’interventions créatives autour de l’écriture et l’enregistrement de chansons et d’improvisations théâtrales menées par des artistes et en collaboration avec les enseignants. Ces actions peuvent être aussi l’opportunité pour les organisateurs de créer des évènementiels (expositions ou des diffusions de documentaires) autour des thématiques de spectacles diffusés.
La compagnie Ariès propose des actions culturelles en milieu scolaire autour certains de ses spectacles. Ces actions permettent de sensibiliser des jeunes aux thématiques des spectacles sous forme d’interventions créatives autour de l’écriture et l’enregistrement de chansons et d’improvisations théâtrales menées par des artistes et en collaboration avec les enseignants. Ces actions peuvent être aussi l’opportunité pour les organisateurs de créer des évènementiels (expositions ou des diffusions de documentaires) autour des thématiques de spectacles diffusés.
La compagnie Ariès propose des actions culturelles en milieu scolaire autour certains de ses spectacles. Ces actions permettent de sensibiliser des jeunes aux thématiques des spectacles sous forme d’interventions créatives autour de l’écriture et l’enregistrement de chansons et d’improvisations théâtrales menées par des artistes et en collaboration avec les enseignants. Ces actions peuvent être aussi l’opportunité pour les organisateurs de créer des évènementiels (expositions ou des diffusions de documentaires) autour des thématiques de spectacles diffusés.
La compagnie Ariès propose des actions culturelles en milieu scolaire autour certains de ses spectacles. Ces actions permettent de sensibiliser des jeunes aux thématiques des spectacles sous forme d’interventions créatives autour de l’écriture et l’enregistrement de chansons et d’improvisations théâtrales menées par des artistes et en collaboration avec les enseignants. Ces actions peuvent être aussi l’opportunité pour les organisateurs de créer des évènementiels (expositions ou des diffusions de documentaires) autour des thématiques de spectacles diffusés.
A Saint-Dizier entre janvier et mars 2018
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Exposition, à la Mairie puis à la Salle des Fuseaux, de documents sur la Résistance à Saint Dizier pendant la guerre de 39/45.
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16 interventions en collèges et lycées : créations de textes de chansons et improvisations théâtrales sur des situations et des personnages du spectacle.
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150 élèves concernés, 6 professeurs, une documentaliste et 2 intervenants artistiques.
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Animations-spectacles en médiathèque et chez des habitants.
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Rencontre-débat en librairie.
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Interactions avec des associations locales de la Résistance.
A Saint-Dizier entre janvier et mars 2018
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Exposition, à la Mairie puis à la Salle des Fuseaux, de documents sur la Résistance à Saint Dizier pendant la guerre de 39/45.
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16 interventions en collèges et lycées : créations de textes de chansons et improvisations théâtrales sur des situations et des personnages du spectacle.
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150 élèves concernés, 6 professeurs, une documentaliste et 2 intervenants artistiques.
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Animations-spectacles en médiathèque et chez des habitants.
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Rencontre-débat en librairie.
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Interactions avec des associations locales de la Résistance.
A Saint-Dizier entre janvier et mars 2018
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Exposition, à la Mairie puis à la Salle des Fuseaux, de documents sur la Résistance à Saint Dizier pendant la guerre de 39/45.
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16 interventions en collèges et lycées : créations de textes de chansons et improvisations théâtrales sur des situations et des personnages du spectacle.
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150 élèves concernés, 6 professeurs, une documentaliste et 2 intervenants artistiques.
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Animations-spectacles en médiathèque et chez des habitants.
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Rencontre-débat en librairie.
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Interactions avec des associations locales de la Résistance.
Notes d'intention des auteurs
Note d'intention de Marie-Céline Lachaud et Nicholas Skilbeck compositeur de Quand la guerre sera finie musical anglo-saxon
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la
musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
(biographie)
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la
musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la
musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
(biographie)
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la
musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
Note d'intention du compositeur
Je pense souvent que les personnages de Quand la guerre sera finie ont écrit leur propre musique. Leur force émotionnelle est tellement forte. Ils aiment vivre, ils ont peur de mourir, ils sont libres, ils trahissent, ils espèrent et ils doutent. La musique jaillit d’eux comme un courant irrésistible. Donc ils chantent ; pour exprimer leur joie, leur peine, pour proclamer ce qu’ils sont. Cette pensée que j’étais uniquement un traducteur en musique des actions et émotions m’encourage à dire que j’aime la musique et l’histoire de Quand la guerre sera finie, et que je suis fier de l’œuvre créée.
J’ai travaillé dans la comédie musicale toute ma vie. Ce que j’adore dans ce genre, c’est la façon dont les personnages sont libres de se déplacer entre le monde concret des mots et des actions et le monde abstrait et émotionnel de la musique. Quand ces mondes s’unifient la communication avec le public est totale, viscérale, émotionnelle et primale.
C’est tout à fait vrai pour Quand la guerre sera finie.
Dans la musique, j’ai essayé de refléter la diversité de l’histoire : les chansons d’amour tendres, les chœurs héroiques, les duos torturés et surtout une envolée cinématographique et épique.
J’espère, comme chaque compositeur, que mon sceau est unique. Mais je suis content de reconnaitre les influences des autres : Sondheim, Schwartz, Weill, Verdi, Puccini, Brel et Legrand.
Ces personnages, rêvés par Marie Céline, sont avant tout humains, extraordinaires et fragiles à la fois. Ils m’ont beaucoup ému au cours des années. Je souhaite simplement que leurs histoires et leur musique fassent de même pour le public qu’ils rencontreront.
Nicholas Skilbeck