Notes d'intention des auteurs
Note d'intention de Marie-Céline Lachaud et Nicholas Skilbeck compositeur de Quand la guerre sera finie musical anglo-saxon
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la

musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
(biographie)
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la

musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la

musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud
(biographie)
Note d'intention de l'auteure
Quand la guerre sera finie est une histoire à part dans ma vie d’auteur. Elle est entrée dans ma vie un soir comme une bourrasque avec une force inconnue et m’a emmenée avec elle.
Il m’a fallu trouver la forme idéale pour traduire au plus juste, tous ces sentiments extrêmes que vivent ces personnages ordinaires confrontés à des situations qu’ils n’ont pas choisies.
Ma rencontre avec le monde musical de Nicholas Skilbeck m’a donné envie d’explorer avec lui la forme du théâtre musical anglo-saxon, si différent de mon écriture habituelle. Le travail s’est étalé sur plusieurs années, en fonction de nos contraintes professionnelles. J’ai appris à tisser le texte avec la

musique, d’une manière nouvelle, en me laissant guider par les émotions des personnages. J’ai aimé ces moments où la musicalité des mots donne le rythme, où la musique fait émerger les mots comme des vagues. L’œuvre nous a portés autant que nous l’avons portée.
J’ai accompagné Lucile, Etienne, Fanfan et les autres dans leurs doutes, leur courage, leurs lâchetés, leurs malentendus à aimer. En me révélant leur humanité, ils m’ont rapprochée un peu plus la mienne, et j’espère qu’il en sera de même pour le public de Quand la guerre sera fine.
Marie-Céline Lachaud